jeudi 30 décembre 2010
Encore de la menuiserie
Aujourd'hui, ça n'a pas été très productif.
Au programme, beaucoup de rabottage pour préparer les planches pour les plateaux (ceux des marches profondes et du bureau). Ca n'était pas évident.
Les morceaux ont été assemblé les uns aux autres après un rainurage. Pour l'instant la marche la plus profonde est en train de sécher, serrée par des serre-joints et un étau.
mardi 28 décembre 2010
Mezzanine - premiers essais
lundi 27 décembre 2010
Menuiserie suite
Nous avons continué notre travail en commençant par scier, et rabotter un poteau supplémentaire.
Puis nous avons tenté de créer des gabarits pour les perçages. Il s'est avéré assez difficile de les construire, pour un résultat très loin de nos espérance. Les gabarits auraient dû nous aider à percer droit, de façon très régulière et plus rapidement. Mais ça ne s'avère pas précis.
Demain, nous percerons après avoir pris les mesure à la main.
Puis nous avons tenté de créer des gabarits pour les perçages. Il s'est avéré assez difficile de les construire, pour un résultat très loin de nos espérance. Les gabarits auraient dû nous aider à percer droit, de façon très régulière et plus rapidement. Mais ça ne s'avère pas précis.
Demain, nous percerons après avoir pris les mesure à la main.
dimanche 26 décembre 2010
Menuiserie
dimanche 7 novembre 2010
Macarons à la violette
Je disais hier que c'était parfait ? En fait, ce n'était pas tout à fait vrai.
Aujourd'hui, ils sont montés tout droit car je ne les ai dressé que peu de temps avant de les mettre dans le four. En d'autres termes, je les ai enfournés avec quasiment pas de croûtage.
Ensuite, j'ai fait une crème au beurre allégée (aômatisée à la violette) en suivant la recette proposée dans le très bon bouquin "Le Macaron" (édité chez Marabout).
Aujourd'hui, ils sont montés tout droit car je ne les ai dressé que peu de temps avant de les mettre dans le four. En d'autres termes, je les ai enfournés avec quasiment pas de croûtage.
Ensuite, j'ai fait une crème au beurre allégée (aômatisée à la violette) en suivant la recette proposée dans le très bon bouquin "Le Macaron" (édité chez Marabout).
vendredi 5 novembre 2010
Macarons roses et orange
Ca y est je crois que je maitrise enfin !
Ce soir, je n'ai eu qu'un taux d'échec vraiment infime.
Tout a fonctionné à la perfection : la forme des coques, la colerette, la brillance. Et quelle couleur ! Sur les photos, ça ne rend pas bien, mais le rose est vraiment rose et le orange vraiment orange. Une vraie réussite.
Le secret ? Un four moins chaud.
lundi 1 novembre 2010
samedi 30 octobre 2010
Macarons - Bonnes lectures
Salut à tous qui suivez ce blog.
Hum, en réalité, c'est Maman qui a voulu le payer.
Justement, aujourd'hui, j'ai deux lectures assez intéressantes à proposer :
Evidemment, je vous renvoie vers l'incontournable "Solution Macarons" de Mercotte (vive la Savoie), qui a été ma bible jusqu'à maintenant.
Ce soir, j'ai compris un truc supplémentaire. En effet, la fois précédente, la dernière fournée était toute râtée (coques craquelées). Aujourd'hui, la troisième fournée a donné le même résultat. Mais avant de mettre la plaque suivante, j'ai tenté de laisser le four ouvert un moment. On lit parfois que ça aide à évacuer le trop d'humidité. Il faut croire que ça a fait quelque chose car la quatrième plaque était parfaite.
- montrer à mes parents, à ma nièce et à mon neveu,
- tester une casserole en cuivre que j'ai récupéré de ma grand-mère et qui m'a bien aidé pour cuire le sirop de sucre,
- et de suivre les quantités proposées dans un ouvrage que je me suis offert.
J'ai continué dans la série macarons. C'était surtout l'occasion de :
Hum, en réalité, c'est Maman qui a voulu le payer.
Justement, aujourd'hui, j'ai deux lectures assez intéressantes à proposer :
- Macarons vive les gourmands (Saep, collection "Fraise des bois") : Un petit livre avec beaucoup de recettes différentes et un grand nombre de magnifiques photos.
- Le macaron, les 13 recettes authentiques (José Maréchal, édtions Marabout) : Un très bel ouvrage, précis, qui rentre dans les détails techniques. Avec de belles photos, et quelques recettes intéressantes, et pas trop farfelues. Il devient ma référence.
Evidemment, je vous renvoie vers l'incontournable "Solution Macarons" de Mercotte (vive la Savoie), qui a été ma bible jusqu'à maintenant.
Ce soir, j'ai compris un truc supplémentaire. En effet, la fois précédente, la dernière fournée était toute râtée (coques craquelées). Aujourd'hui, la troisième fournée a donné le même résultat. Mais avant de mettre la plaque suivante, j'ai tenté de laisser le four ouvert un moment. On lit parfois que ça aide à évacuer le trop d'humidité. Il faut croire que ça a fait quelque chose car la quatrième plaque était parfaite.
samedi 16 octobre 2010
Macarons pistache
Jeudi en fin d'après-midi, j'ai quitté le boulot un peu plus tôt pour aller faire le plein de matériel et de matière première chez Arnaud SA.
Je repars avec une bonne facture mais aussi de la poudre d'amande, du sucre glace, du chocolat de couverture (blanc et noir), des plaques à pâtisserie, diverses choses et surtout de la pâte de pistache.
Voilà donc une bonne occasion de préparer des macarons à la pistache.
Hier, j'ai donc préparé une crème à la pistache.
Et aujourd'hui, c'était au tour des coques que j'ai réalisées avec la recette à la meringue italienne.
Résultat : plus de la moitié des coques ont craquelé. Elles ne sont pas lisses et brillantes comme je l'aurais espéré. Mais globalement, ce n'est pas si raté que ça.
En tous cas, la crème a l'air d'avoir beaucoup de goût pour une fois. J'ai hâte de les goûter.
Je repars avec une bonne facture mais aussi de la poudre d'amande, du sucre glace, du chocolat de couverture (blanc et noir), des plaques à pâtisserie, diverses choses et surtout de la pâte de pistache.
Voilà donc une bonne occasion de préparer des macarons à la pistache.
Hier, j'ai donc préparé une crème à la pistache.
Et aujourd'hui, c'était au tour des coques que j'ai réalisées avec la recette à la meringue italienne.
Résultat : plus de la moitié des coques ont craquelé. Elles ne sont pas lisses et brillantes comme je l'aurais espéré. Mais globalement, ce n'est pas si raté que ça.
En tous cas, la crème a l'air d'avoir beaucoup de goût pour une fois. J'ai hâte de les goûter.
dimanche 10 octobre 2010
Macarons verveine
Ah enfin des macarons qui ressemblent à des macarons.
De nombreuses tentatives les semaines précédentes s'étaient conclues par des machins qui n'avaient point d'allure. Des trucs difforme dont j'avais un peu honte. Certes les crèmes au beurre (vanille/cardamome et café) avaient rattrapé l'affaire et beaucoup disaient qu'ils étaient très bons. Mais, l'intérêt du macarons c'est avant tout qu'il soit beau.
Et les conditions n'étaient pas réunies.
Aujourd'hui enfin, j'ai trouvé les bons réglages. Je suis parti sur une base à la meringue italienne (avec le sirop de sucre à ~114°) avec un tout petit peu de colorant jaune.
Mais, ce qui je pense a fait la différence, c'est d'avoir enfourné sans croûtage, dans un four déjà chaud, avec une plaque déjà présente et au niveau le plus bas.
Il ont cuit quasiment à la perfection. La colerette est très bien formée. La croûte est lisse et brillante. Et la couleur est restée tout à fait correcte (pas de coque brunâtre).
Bon par contre, sur la ganache, il y a eu un petit loupé. François et Muriel qui étaient là avec leur petite voulaient faire des macarons à la verveine. Soit, mais nous n'avons pas trouvé de recette de ganache "qui nous convenait". Alors on a fait au feeling, sauf que en patisserie, "l'a peu près" ça n'existe pas. La ganache a donc été rattrapée au dernier moment par de la poudre d'amande. On verra au moment de les goûter.
En tous cas, pour les coques, il ne me reste plus qu'à reproduire mon succès.
Le problème, c'est que je manque de matière première maintenant. Il va falloir que je me refournisse.
De nombreuses tentatives les semaines précédentes s'étaient conclues par des machins qui n'avaient point d'allure. Des trucs difforme dont j'avais un peu honte. Certes les crèmes au beurre (vanille/cardamome et café) avaient rattrapé l'affaire et beaucoup disaient qu'ils étaient très bons. Mais, l'intérêt du macarons c'est avant tout qu'il soit beau.
Et les conditions n'étaient pas réunies.
Aujourd'hui enfin, j'ai trouvé les bons réglages. Je suis parti sur une base à la meringue italienne (avec le sirop de sucre à ~114°) avec un tout petit peu de colorant jaune.
Mais, ce qui je pense a fait la différence, c'est d'avoir enfourné sans croûtage, dans un four déjà chaud, avec une plaque déjà présente et au niveau le plus bas.
Il ont cuit quasiment à la perfection. La colerette est très bien formée. La croûte est lisse et brillante. Et la couleur est restée tout à fait correcte (pas de coque brunâtre).
Bon par contre, sur la ganache, il y a eu un petit loupé. François et Muriel qui étaient là avec leur petite voulaient faire des macarons à la verveine. Soit, mais nous n'avons pas trouvé de recette de ganache "qui nous convenait". Alors on a fait au feeling, sauf que en patisserie, "l'a peu près" ça n'existe pas. La ganache a donc été rattrapée au dernier moment par de la poudre d'amande. On verra au moment de les goûter.
En tous cas, pour les coques, il ne me reste plus qu'à reproduire mon succès.
Le problème, c'est que je manque de matière première maintenant. Il va falloir que je me refournisse.
lundi 4 janvier 2010
Neige à Chambéry
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